Le « printemps arabe » s’il ne passionne peut-être pas l’opinion française, l’intéresse à coup sûr. Depuis deux ans, chroniques radiophoniques, débats télévisés, le choisissent volontiers comme thème, et, dans les librairies, une table lui est souvent consacrée. Dans ces diverses et multiples prestations, quelle est la part des historiens ? La question est peut-être mal posée....